dessin au sol à la peinture temporaire, dimensions variables,
décembre 2017
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Urban emptiness festival Nicosia, © Benoît Billotte 1 / 7 -
Urban emptiness festival Nicosia, © Benoît Billotte 2 / 7 -
Urban emptiness festival Nicosia, © Benoît Billotte 3 / 7 -
Urban emptiness festival Nicosia, © Benoît Billotte 4 / 7 -
Fragment d’ailleurs – Ferme de La Chapelle Lancy, © Benoît Billotte 5 / 7 -
Fragment d’ailleurs – Ferme de La Chapelle Lancy, © Benoît Billotte 6 / 7 -
The Plausible island – Topographies de l’art Paris, © Catherine Rebois 7 / 7
Portulan revisite les conventions cartographiques du XIVe et invite par simplification graphique à la dérive. Ici la carte ne montre que ce qui est en périphérie des terres, soit le territoire maritime. Ce dernier a longtemps était considéré comme une zone inconnue, à explorer, pleine de surprises et de fantasmes à l’instar de ce qu’à pu être au XXe siècle la conquête spatiale.
Le dessin recouvre le sol de lignes blanches ou noires qui s’effacent au fur et à mesure du passage des gens. Cette cartographie est donc double, elle donne à voir dans un premier temps un code cartographique océanique puis dans un second temps elle imprime les aller et venues des visiteurs.
exposition The Plausible Island, espace Topographies de l’art, Paris, Fr.
exposition Urban Emptiness festival, Nicosia, Cy.
exposition Fragments d’ailleurs, galerie Ferme de la Chapelle, Genève, Ch.