animation flash, 6 min et sérigraphie sur papier 65 x 50 cm
mai 2013
avec le soutien du Fond cantonal d’art contemporain Genève
Somnia forma urbis prend comme point de départ la publication Il Campo Marzio de Piranèse (1762) dans lequel il redessine les plans de la Rome Antique. Cette ville n’est qu’une projection possible de ce que fut la Rome éternelle.
Chaque bâtiment, après avoir été isolé et redessiné, est agencé de manière libre avec les autres éléments architecturaux, tel un puzzle. Une ville, proche d’une constellation ou d’une station spatiale, se met alors en place et s’étend inlassablement dans le plan. Sa forme modulaire et orthogonale peut notamment rappeler la Villa Adriana de Tivoli.
L’animation propose une déambulation dans cette ville songe. A la manière d’un scan, un oculus balaye les différents bâtiments sans pour autant en donner une vue complète. Proche de la frustration, ce parcours urbanistique partiel ouvre sur une contemplation où chacun peut y projeter sa propre ville rêvée.
exposition Notabile Mirabile, Musée des antiquités, Rouen, Fr..
exposition Este Arte, foire de Punta del Este, Urugay.
exposition Les Traversées, centre d’art contenporain La Villa du Parc, Annemasse, Fr.
exposition Now&After’15, 5em édition du Festival de vidéo d’art de Moscou, Ru.
exposition Disappearing city, galerie Cour Carrée, Paris, Fr.
exposition Mirabilia, Laboratoire d’expression élastique, Metz, Fr
exposition Mirabilia urbis Romae, Screen Space gallery, Melbourne, Au.
exposition aliquid mirari, Piano Nobile, Genève, Ch.